Avis de Zaynab : "Quand trois suisses discutaient en 1790, ils faisaient un catalogue des nouveautés"
"Les vagabonds de la Bastille" est un livre paru pour un bicentenaire, celui de 1789 et il ouvre sur trois plans, dessinés pour une bonne lisibilité des jeunes lecteurs. Par ailleurs environ 5% du volume du livre sont consacrés à une illustration en noir et blanc avec des silhouettes de personnages beaucoup plus réalistes et dynamiques que celles de la couverture (visiblement confiée à un autre dessinateur).
Le récit commence par la rencontre entre Thomas accompagné par sa soeur Manon (jeunes paysans) et la fille du comte de Montigny. Peu après est abordée la question de la rédaction des cahiers de doléances. Peu après Manon surprend des conversations bizarres et elle est enlevée par des hommes du comte. Heureusement elle parvient à s'évader du château où elle était retenue.
Manon fuit de sa Normandie vers Paris ; Manon est placée comme perruquière auprès de la reine l’espionne et elle va essayer de déjouer un complot royaliste. Le comte d'Artois ainsi que le comte de Mercy-Argenteau (ambassadeur autrichien) sont abondamment cités dans cet ouvrage. Il est à noter que vient de paraître un ouvrage historique "Le comte de Mercy d'Argenteau" d'Hervé Hasquin.
Parallèlement une idylle se noue entre Ida de Montigny (la fille du comte) et Thomas. En effet son frère accompagné de Barthélémy, un jeune clerc de notaire qui s'est occupé de rédiger les cahiers de doléances d’un village, est venu à Paris pour retrouver Manon. Accessible à des collégiens de troisième férus d'histoire, ce récit exprime bien l'atmosphère du début de la Révolution et ne surcharge pas le jeune lecteur en faits et personnages historiques.
Rappelons que les gardes suisses ne disparaissent qu'à la fin de 1792.
Le récit commence par la rencontre entre Thomas accompagné par sa soeur Manon (jeunes paysans) et la fille du comte de Montigny. Peu après est abordée la question de la rédaction des cahiers de doléances. Peu après Manon surprend des conversations bizarres et elle est enlevée par des hommes du comte. Heureusement elle parvient à s'évader du château où elle était retenue.
Manon fuit de sa Normandie vers Paris ; Manon est placée comme perruquière auprès de la reine l’espionne et elle va essayer de déjouer un complot royaliste. Le comte d'Artois ainsi que le comte de Mercy-Argenteau (ambassadeur autrichien) sont abondamment cités dans cet ouvrage. Il est à noter que vient de paraître un ouvrage historique "Le comte de Mercy d'Argenteau" d'Hervé Hasquin.
Parallèlement une idylle se noue entre Ida de Montigny (la fille du comte) et Thomas. En effet son frère accompagné de Barthélémy, un jeune clerc de notaire qui s'est occupé de rédiger les cahiers de doléances d’un village, est venu à Paris pour retrouver Manon. Accessible à des collégiens de troisième férus d'histoire, ce récit exprime bien l'atmosphère du début de la Révolution et ne surcharge pas le jeune lecteur en faits et personnages historiques.
Rappelons que les gardes suisses ne disparaissent qu'à la fin de 1792.
Accessible jeunesse Quelques illustrations Plan chronologique
Bravo pour les titres de vos critiques toujours si bien trouvés
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