Avis de Octave : "1918 au trot pour une paix au galop"
Après nous avoir offert chez le même éditeur 1914, le destin du monde en février 2013, environ six mois après Max Gallo livre 1918, la terrible victoire. Ce dernier constitue en sorte (et même officiellement) le tome 2 car l’auteur commence par cent pages qui sont consacrées à la période allant d’août 1914 à l’offensive Nivelle et la chute du cabinet Paul Painlevé. Certains auront donc déjà deviné que le gros de l’ouvrage est consacré à l’action de Georges Clemenceu. Arrivé au pouvoir à l’automne 1917, il quitte celui-ci en janvier 1920 après que sa vrai-fausse candidature à l’élection présidentielle se soit traduite par l’élection de Paul Deschanel.
Si la première partie de 1918, la terrible victoire comprend sept chapitres et environ 80 pages, la seconde en compte plus de cent pour treize chapitres. Cet ouvrage de vulgarisation remplit très bien son rôle tant au niveau de la forme avec des titres de chapitre très suggestif (comme « c’est le front qui a besoin de l’arrière » ou « la paix est une question grave et même terrible ») que du contenu de ces mêmes chapitres. De très nombreuses illustrations sont insérées au milieu d’une page, à l’endroit précis où le texte évoque ce qui nous est représenté par l’iconographie.
Si la première partie de 1918, la terrible victoire comprend sept chapitres et environ 80 pages, la seconde en compte plus de cent pour treize chapitres. Cet ouvrage de vulgarisation remplit très bien son rôle tant au niveau de la forme avec des titres de chapitre très suggestif (comme « c’est le front qui a besoin de l’arrière » ou « la paix est une question grave et même terrible ») que du contenu de ces mêmes chapitres. De très nombreuses illustrations sont insérées au milieu d’une page, à l’endroit précis où le texte évoque ce qui nous est représenté par l’iconographie.
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