Avis de Octave : "Des cartes pas seulement de René"
L’ouvrage propose plus de 200 cartes postales autour des thèmes suivants : la mobilisation, l’invasion, la bataille de la Marne, l’invention des tranchées, la guerre dans les airs, sur l’eau et sous l’eau, une guerre mondiale, bourre le crâne, femmes et enfants en guerre, la vie quotidienne, la religion sur le front, rompre le front, les blessés, les prisonniers de guerre, la victoire, le souvenir et les ruines.
C’est l’ensemble de la France métropolitaine de l’époque (régions occupées comprises) plus la petite partie de l’Alsace reconquise qui est couvert. Pour l’arrière, on a des photographies des villes importantes où travaillent des civils ou d’où partent pour le front diverses unités françaises, anglaises ou américaines. Pour la zone des armées, ce sont les occupations des militaires ou des civils dans divers villages qui sont présentées. Des cartes mettent en scène des soldats sous le feu ennemi ou s’apprêtant pour l’assaut. L’armée allemande est présente, soit que les clichés aient été pris par les soldats germaniques, soit par des civils français de villages envahis. Certes, les personnages prennent assez souvent la pose, mais l’environnement qui est le leur ne relève pas de la mise en scène, sauf pour des cas particuliers relevant d’un esprit de propagande. Le texte qui accompagne les illustrations est d’une grande rigueur historique, et grâce au choix d’une taille de livre de 25 x 32 cm, le contenu des cartes postales est accessible. Certaines particularités de villes sont bien mises en évidence, comme Lyon pour le retour de prisonniers échangés ou de population civile expulsée car cela se faisait par la Suisse ou Saint-Nazaire, grand port de débarquement des forces américaines.
C’est l’ensemble de la France métropolitaine de l’époque (régions occupées comprises) plus la petite partie de l’Alsace reconquise qui est couvert. Pour l’arrière, on a des photographies des villes importantes où travaillent des civils ou d’où partent pour le front diverses unités françaises, anglaises ou américaines. Pour la zone des armées, ce sont les occupations des militaires ou des civils dans divers villages qui sont présentées. Des cartes mettent en scène des soldats sous le feu ennemi ou s’apprêtant pour l’assaut. L’armée allemande est présente, soit que les clichés aient été pris par les soldats germaniques, soit par des civils français de villages envahis. Certes, les personnages prennent assez souvent la pose, mais l’environnement qui est le leur ne relève pas de la mise en scène, sauf pour des cas particuliers relevant d’un esprit de propagande. Le texte qui accompagne les illustrations est d’une grande rigueur historique, et grâce au choix d’une taille de livre de 25 x 32 cm, le contenu des cartes postales est accessible. Certaines particularités de villes sont bien mises en évidence, comme Lyon pour le retour de prisonniers échangés ou de population civile expulsée car cela se faisait par la Suisse ou Saint-Nazaire, grand port de débarquement des forces américaines.
L’héritage sportif de la bataille de la Somme
Café culture avec Michel Merckel
Vendredi 22 février 2019 de 18H30 à 19h30 – Historial de Péronne. Entrée libre – salle du théâtre de verdure – renseignement/réservation à resahgg@historial.org ou 03.22.83.14.18
Café culture avec Michel Merckel
Vendredi 22 février 2019 de 18H30 à 19h30 – Historial de Péronne. Entrée libre – salle du théâtre de verdure – renseignement/réservation à resahgg@historial.org ou 03.22.83.14.18
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