Avis de Octave : "Gusse le dernier mort de la classe 1910 dans ce village berrichon"
Quel était la douleur de ceux qui perdirent un enfant ou un frère durant la Première guerre mondiale ? Si les sentiments furent complexes et variés, on approche ici comment fut vécu le deuil dans la culpabilisation. Cette culpabilisation est d’ailleurs née d’une réflexion maladroite de la mère de celui qui est tombée au champ d’honneur, une réflexion fruit de l’intégration de la propagande et donc du fossé qui sépare civils et poilus dans leurs représentations et les objectifs du conflit.
« Adieu nos pucelles
Si gentes, si belles
On les reverra
Quand la classe, quand la classe
On les reverra
Quand la classe reviendra ! »
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